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— Vous ne vous rappelez donc pas, souffla ce dernier à l’oreille du pochard, que vous avez donné rendez-vous à Bouzillon, il nous attend à la cantine.
— Hein ! fit Mahuret, s’adressant à Caragut, Pouliard en a-t-il une biture, ce qu’il est fadé le bonhomme ! Ils sont en train de finir de le plumer. Je suis sûr qu’ils doivent être au moins une demi-douzaine à l’attendre à la cantine !
Caragut haussa les épaules, tout en préparant son lit pour se coucher.
Puis, après un silence :
— Que c’est beau, l’armée !