Page:Grangé, Noriac - La Boîte au lait.pdf/70

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
FRANCINE.
––––––Allez, que rien ne vous arrête !

(Parlé.) Une, deux, trois !

Elle désarme Poupardet.

POUPARDET.

(Parlé.) J’aime mieux ça, ça me gênait !

REPRISE DE L’ENSEMBLE
–––––––––––Zing, zing, zing,
––––––––––––Etc., etc.

Touché, touché, j’en conviens.

ADALBERT.

Vous aussi ? un maître d’armes !

FRANCINE.

Monsieur est très-fort, seulement il ne connaît pas le coup du lapin.

POUPARDET.

En effet, j’avoue même que j’ignorais que cet animal fit autorité en escrime !

FRANCINE.

Pauvre jeune homme, que je vous plains ! Si vous voulez laisser quelque chose à la postérité, dépêchez-vous de finir ça !

Elle montre une toile placée au fond.

ADALBERT.

Mais c’est horrible ! au moment où la gloire me tend les bras !.. Ah ! une idée ! j’ai une idée !

FRANCINE et POUPARDET.

Voyons !

ADALBERT.

Voyons ; je ne suis pas le premier venu… et j’ai bien le