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METS TON MANTEAU
COMME VIENT LE VENT

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P our peu qu’on se soit promené sur le boulevard des Italiens, trois ou quatre heures par jour, pendant trois ou quatre ans, on ne doit pas manquer de connaître Paul Dufresny.

Paul Dufresny demeurait rue Taitbout, à deux pas de ce boulevard, où il passait le plus clair de son temps ; il donnait le reste à ses plaisirs : si bien qu’il pouvait justement être cité pour le garçon le plus inoccupé