Quant à l’Italie, ne la cherchez point en cette galerie 011 elle brille par son absence : elle s’est, à plusieurs reprises, occupée graphiquement et littérairement des opéras qui, chez elle comme partout^ devaient mener grand bruit, mais elle paraît s’être peu intéressée à l’homme, tout au moins à son côté humoristique, à sa physionomie pittoresque.
Ni le béret, ni la robe de chambre n’ont tenté les caricaturistes de Turin ou de Milan.
Et maintenant, Thomme ainsi étudié sous toutes les faces, pénétrons sur le champ de bataille.
A la grosse caisse du Tannhduser ^ au bombardement de Bayreuth va répondre une pluie de caricatures qui n’épargnera ni l’auteur, ni les œuvres, ni les interprètes.
L’ombre de Wagner.
(raricature du Ally Sioper’x, publiée à propos des représentations de Lohcwjrin à Paris, septembre 1891.)
