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PARODIES DES OPÉRAS DE WAGNER.

L’Oie en crin. Représentée en 1890 sur la scène des Folies-Berffère, à Rouen.

Lohengrin… à l’Eldorado, pastiche musical de M. A. Patusset avec poésie et prose, pour les besoins de la cause, par MM. Boucherat et J. Sermet. Représenté pour la prennière fois, à l’Eldorado, le 13 novembre 1890.


LES MAÎTRES CHANTEURS


Lehmann in die Meistersinger [Lehmann[1] dans les « Maîtres Chanteurs »]. Monologue avec chant. Représenté à Berlin en 1870.

Die Meistersinqer oder das judenthum in der Musik. Hep ! hep ! oder die Meistersingern von Nürnberg. Grosse Confessionnelle Socialdemokratische Zukunftsoper (Les « Maîtres Chanteurs » et le judaïsme dans la musique. Grand opéra de l’avenir, religioso-socialistico-démocratique). Farce en 1 acte par Franz Bittong. Musique arrangée par Gustav Michaëlis. (W. Erbe, à Spremberg.)

Die Meistersinger, opérette comique en un acte, par C.-F. Stix, musique de Karl Kleiber. Représentée au Volkstheater, à Vienne.

— Une parodie des Maîtres Chanteurs, scène de coups de bâton, par Richard Gênée, a été introduite dans le Petit Faust d’Hervé, au théâtre An der Wien, à Vienne.


RIENZI


Rien. Parodie jouée en mai 1869 au théâtre Déjazet, à Paris.


TANNHÄUSER


Richmondis von der Aducht und der Sängerkrieg auf dem Neumarkt, schauderhafte Oper der Zukunft in 4 acten. Richmondi d’Aducht et la Guerre des chanteurs sur le Marché-Neuf, horrible opéra de l’avenir, en 4 actes, texte par un compositeur et musique par un poète. Opéra-comique représenté sur le théâtre Stollwerk, à Cologne, le 25 août 1854,

Tannhäuser oder die Keilerei auf der Warthurg (Tannhauser ou la Dispute à la Wartbourg). Grand opéra moral et germanique, avec chant et musique ; texte, composition, décoration, éclairage par le même (par le Dr Hermann Woltheim). Représenté par la Silesia hoyerswerda (Société d’étudiants) au théâtre de Breslau. Vers 1855.

Tannhäuser oder der Sängerkrieg auf der Wartburg (Tannhäuser ou la Guerre des Chanteurs à la Wartbourg). Parodie de Nestroy, musique de Bender, jouée au Karl-Theater, à Vienne, le 31 octobre 1857 et reprise le 14 juin 1879. Cette pièce fit une recette considérable.

  1. C’est le nom d’un des plus célèbres chanteurs du répertoire wagnérien.