— 100,000 florins und meine Tochter (100,000 florins et ma fille). Farce de carnaval, avec chant et danse, en 4 tableaux, par Ed. Dorn, musique de Gothov-Grüneke. Représentée au Josefstadt-Theater, à Vienne, en janvier 1879. Le quatrième tableau représentait « l’Anneau du Nibelung ou le judaïsme dans la musique ».
— Der Ring der nie gelungen (L’Anneau de ceux qui n’ont jamais réussi), par
P. Gisbert. Vienne, février 1879.
Fut interdit à Munich par arrêté de police.
— Die Niebelungen oder der gehörnte Siegfried. (Les Niebelungen ou Siegfried le cornard). Grand divertissement représenté, pour la première fois, le 23 août 1880, au Circus Salamonsky, à Riga.
— Der Ring der Nibelungen. Représenté en mai 1881 au Quarger’s Vaudeville Theater, à Berlin.
— Der Nibelungenring, parodie des Niebelungen en 4 actes, par Léon Treptow (auteur de la pièce Mensch ärgere dich nicht, très populaire en Allemagne), représentée en mai 1881 au Central-Theater, à Berlin.
— Der falsche Lohengrin (Le faux Lohengrin), parodie de Böhm.
— Ritter Lohengelb oder die Jungfrau von Dragant (Le Chevalier de l’Écorce jaune ou la Puceile de Dragant [pour Elsa de Brabant]). Lohen signifie écorce, ou, comme verbe, tanner : Grin est pris pour grün, vert, en patois viennois. Du chevalier « tanne-en-vert » on a fait « tanne-en-jaune ». Parodie de Grandjean, musique de Suppé, représentée au Carl-Theater, à Vienne, le 30 novembre 1870.
— Parodie de Lohengrin, avec musique de Ullyssi Barbieri, représentée en 1873 au théâtre Frossati, à Milan.
— Die reiche Erbin (La Riche Héritière), comédie moderne en deux actes de Édouard von Bauernfeld, représentée d’abord à Vienne, au Wiener-Stadt-Theater le 8 janvier 1876, puis à Berlin le 1er mai, au Stadt-Theater, où elle tomba ; réduite plus tard en un acte par l’auteur, et redonnée sous cette nouvelle forme, au Carl-Theater, le 14 juin 1879, avec adjonction de parties sur le Tannhäuser et sur les « farces de l’avenir ».
Dans cette parodie, Wagner se trouve ridiculisé sous le nom de Richard Faust.
— Der Herr von Lohengrin (Monsieur de Lohengrin), plaisanterie dramatique en un acte, de A. Günther, représentée à Francfort, au théâtre de la ville, le 30 octobre 1876.
— Lohengrin à l’Alcazar. Parodie en trois tableaux, de MM. Lebourg et Boucherat, musique de M. Patusset. Orchestre de trente-cinq musiciens, dirigé par M. G. Michiels. Représentée le 25 février 1886.