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CARICATURES ALLEMANDES SUR LES OPÉRAS.

(GÖTTER, HELDENN UND PUBLIKUM. — Dieux, Héros et Public.

Walhall. 1. — Wittwe Fasold — Na. Sie haben nuch weiter kein Gliick ! Da ist die letzte freie Wohnung in Bayreuth !

2. — Dadroben ist das Tlicatcr ! Bei der Hilze und dem Staul), undkeineDroschke ! Gab’swcnigstens einen RegenbogenI

3.— Im dunklenTheaterbei 350 Kiihie. So eben iritt Andrassy in die P^iirstenloge. Hochst intéressant !! !

4.— Brùnhildehatsichstûrmisch auf das Ross geschwungen, und sprengt es cum Grane salis in den brennenden Scheithausen. (Textbuch.)

Souvenirs de Bayreuth, 13-17 août.

[Kladdevadalsdi, septembre 18"G.)

Explication des croquis :

1. L’arrivée à la recherche d’un gîte. — Là, vraiment, vous n’avez pas de chance ! C’est le dernier logement de libre à Bayreuth.

2. En face, là-haut, est le théâtre ! La chaleur, la poussière, et pas une voiture ! Si c’était seulement un arc-en-ciel ! (allusion aux rayons du soleil qui, en la gravure, tombent dru sur la terre).

3. Dans le théâtre entièrement obscur, par 35 degrés de chaleur. Andrassy vient d’entrer dans la loge des princes. Tout à fait intéressant !_ !!

4. Briinhilde (lisez Mme Materna) s’est précipitée avec violence sur le cheval (de Siegfried), et elle court à franc étriercwm grane i«/ ?s(jeu de mots sur le cheval «Grane») vers le bûcher enflammé (où repose déjà le corps de Siegfried).