PETITES LEGENDES WAGNERIENNES
Apothéose. — Der Meister schreitet vom Festspielhause iiber die beriihmte Regenbogenbriieke aus« Rheingold »nach jener Walhalla hinûber, wo er, ungestraft, « Gott-Vater » spielen darf.
Apothéose. — A travers le pont célèbre du « Rheingold » dressé on arc-en-ciel, le Maître se rend du « Festspielhause » vers l’autre Walhalla en face, où, impuni, il doit jouer Dieu le père.
{Die Bombr, n» ai, 187G.)
- Le Walhalla situé en face c’est la maison des fous.
Les feuilles caricaturales de l’époque sont remplies de satires en prose et en images sur les « insanités » àwFestspiel. Voici, notamment, quelques « préceptes wagnériens » à Tusage des voyageurs, formulés par le Junge Kikeriki de Vienne.
(( Tout participant à la représentation du Festspiel^ joué sur les planches sacrées, prend pour la vie congé des siens et une habitation à l’année à Bayreuth.
« L’opéra est divisé en deux préludes, en deux représentations de nuit et en dix actes : entre chacun d’eux, il y aura un intervalle d’un mois, y compris le temps nécessaire au transfert des malades.