Page:Graffigny - Lettres d'une Péruvienne.djvu/77

Cette page a été validée par deux contributeurs.

se contrainte où ils me retiennent ? Non, ils chercheroient à me plaire, ils obéiroient aux signes de mes volontés ; je serois libre, je sortirois de cette odieuse demeure ; j’irois chercher le maître de mon ame ; un seul de ses regards effaceroit le souvenir de tant d’infortunes.

Séparateur