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jour du Raymi[1] : Il se met sur ses genoux fort près de mon lit, il reste un tems considérable dans cette posture gênante : tantôt il garde le silence, & les yeux baissés il semble rêver profondément : je vois sur son visage cet embarras respectueux que nous inspire le grand Nom[2] prononcé à haute voix. S’il trouve l’occasion de saisir ma main, il y porte sa bouche avec la même vénération que