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elle est le seul azile de l’amour infortuné. Si les maux que je redoute alloient m’accabler, quels reproches n’auriez-vous pas à vous faire ? Si vous m’abandonnez, où trouverai-je des cœurs sensibles à mes peines ? La générosité, jusqu’ici la plus forte de vos passions, céderoit-elle enfin à l’amour mécontent ? Non, je ne puis le croire ; cette foiblesse seroit indigne de vous ; vous êtes incapable de vous y livrer ; mais venez m’en convaincre, si vous aimez votre gloire & mon repos.