Cette page a été validée par deux contributeurs.
qu’il voudroit, & qu’ayant un Oncle tout puissant à la Cour d’Espagne, il pouvoit plus aisément que personne me procurer les nouvelles de nos malheureuses contrées.
Pour achever de me déterminer à attendre son retour (qu’il m’assura être prochain) il ajouta qu’après les obligations que j’avois à ce généreux ami, je ne pouvois avec honneur disposer de moi sans son consentement. J’en tombai d’accord, & j’écoutai avec plaisir l’éloge qu’il me fit des rares qualités qui distinguent Déterville des personnes de son rang. Le poids de la reconnoissance est bien léger, mon cher Aza, quand