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assez souvent, elle n’est pas assez instruite pour me satisfaire ; à peine avoit-elle pensé que les Livres fussent faits par les hommes, elle ignore leurs noms, & même s’ils vivent.

Je te porterai, mon cher Aza, tout ce que je pourrai amasser de ces merveilleux ouvrages, je te les expliquerai dans notre langue, je goûterai la suprême félicité de donner un plaisir nouveau à ce que j’aime.

Hélas ! le pourrai-je jamais ?

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