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commodité, que je continue à prendre des leçons d’écriture. Je ne parle qu’au maître qui me les donne ; son ignorance à tous autres égards qu’à celui de son art, ne peut me tirer de la mienne. Céline ne me paroît pas mieux instruite ; je remarque dans les réponses qu’elle fait à mes questions, un certain embarras qui ne peut partir que d’une dissimulation maladroite ou d’une ignorance honteuse. Quoi qu’il en soit, son entretien est toujours borné aux intérêts de son cœur & à ceux de sa famille.

Le jeune François qui lui parla un jour en sortant du Spectacle, où l’on chante, est son Amant,