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connues, le recueil n’en seroit pas parvenu jusqu’à nous, si la même main ne les eût écrites dans notre langue.

Nous devons cette traduction au loisir de Zilia dans sa retraite. La complaisance qu’elle a eu de les communiquer au Chevalier Déterville, & la permission qu’il obtint enfin de les garder, les a fait passer jusqu’à nous.

On connoîtra facilement aux fautes de Grammaire & aux négligences du stile,