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ma chambre, c’est le seul tems où nous joüissons en paix du plaisir de nous voir. Et quoique je ne participe guères à leurs entretiens, leur présence m’est toujours agréable. Il ne tient pas aux soins de l’un & de l’autre que je ne sois heureuse. Hélas ! mon cher Aza, ils ignorent que je ne puis l’être loin de toi, & que je ne crois vivre qu’autant que ton souvenir & ma tendresse m’occupent toute entière.

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