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LETTRE DOUZIÉME.



J’Ai passé bien du tems, mon cher Aza, sans pouvoir donner un moment à ma plus chere occupation ; j’ai cependant un grand nombre de choses extraordinaires à t’apprendre ; je profite d’un peu de loisir pour essayer de t’en instruire.

Le lendemain de ma visite chez la Pallas, Déterville me fit apporter un fort bel habillement à l’usage du pays. Après que ma petite China l’eut arrangé sur moi à sa fantaisie, elle me fit approcher de cette ingénieuse machine qui dou-