Page:Graffigny - Lettres d'une Péruvienne.djvu/115

Cette page a été validée par deux contributeurs.

étois ici, je me plairois avec eux. Un certain air d’affabilité répandu sur tout ce qu’ils font, les rend aimables ; & si mon ame étoit plus heureuse, je trouverois du plaisir dans la diversité des objets qui se présentent successivement à mes yeux ; mais le peu de rapport qu’ils ont avec toi, efface les agrémens de leur nouveauté ; toi seul fais mon bien & mes plaisirs.

Séparateur