Page:Grégoire de Nazianze - Éloge funèbre de Césaire, 1853.djvu/9

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.

XVI. Mais l’orateur espère que Césaire n’est pas mort tout entier, et que ce discours, prononcé sur sa tombe, le fera vivre dans la mémoire des hommes.

XVII. Puisse Césaire reposer en paix dans le sein d’Abraham, et jouir du bonheur que Dieu réserve dans sa bonté à tous ceux qui marcheront selon la foi !

XVIII. Deuxième Partie. Les parents doivent se consoler de la perte de leurs enfants, en songeant au peu de temps qui leur reste à vivre à eux-mêmes, à la courte durée de la vie et aux maux dont elle est assiégée.

XIX. Vanité des choses humaines.

XX. Césaire a plus gagné en mourant qu’il n’eût fait en vivant encore de longues années.

XXI. Félicité de l’âme dégagée des liens du corps ; un jour viendra où Grégoire verra Césaire dans toute sa gloire.

XXII. Troisième Partie. Quand donc l’homme sera-t-il assez sensé pour mépriser les choses de la terre et ne songer qu’à la gloire promise dans le ciel et au tribunal redoutable devant lequel il faut comparaître ?

XXIII. C’est en mortifiant la chair qu’on peut espérer la vie éternelle.

XXIV. Que Dieu daigne aujourd’hui recevoir Césaire dans son sein ; qu’il fasse la même grâce à ceux qui mourront en se confiant en sa bonté et en sa justice.