Il me semble qu’alors du haut de l’empyrée, s’incline un chérubin à la face sereine, qui lui répond : « Ton fils habite la région céleste, essuie tes pleurs, et prépare-toi à le suivre ». Que cet espoir amortisse tes douleurs, et change tes complaintes en cris d’allégresse. Sur l’aile de la foi élève ton ame à la voûte du firmament, où mêlant sa voix à la voix des purs esprits, cet enfant fait retentir les cieux de concerts inspirés par le bonheur. Cesse d’accuser le régulateur des Mondes ; interdis à ton ame des
Methinks a cherub bending from the skies
Observes the question and serene replies,
« In heav’n’s high palaces your babe appears :
Prepare to meet him, and dismiss your tears ».
Shall not th’ intelligence your grief restrain,
And turn the mournful to the chearful strain ?
Cease your complaints, suspend each rising sigh,
Cease to accuse the Ruler of the sky.
Parents, no more indulge the falling tear :
Let Faith to heav’n’s refulgent domes repair,
There see your infant like a seraph glow :
What charms celestial in his numbers flow
Melodious, while the soul-enchanting strain
Dwells on his tongue, and fills th’etherial plain ?
Enough — forever cease your murm’ring breath ;