demande pardon de ne pas rester avec vous. Un travail m’appelle dans mon cabinet. Bonsoir, mesdemoiselles.
— Adieu, Lucette ! s’écrièrent Stéphanie et Adèle dès que Fleuriot ne fut plus là ; adieu, amie. Viens nous voir le plus souvent que tu pourras. — Recommandation qui, à peu près, voulait dire : Nous ne reviendrons pas tous les jours.
— Mon mari vous paraît peut-être un peu froid ; C’est de la politesse chez lui. Il voit beaucoup le grand monde ; où il faut être froid, m’a-t-il dit, pour paraître bien élevé ; Fleuriot est bon.
— Nous le trouvons charmant, dit Adèle, qui, ainsi que Stéphanie, était déjà dans d’escalier ; nous nous en allons parce qu’il est tard. Adieu ; bonne !
— Serez-vous chez madame Canillon, dimanche ? leur demanda Lucette à voix basse du haut de la rampe.
— Oui.
— Eh bien, j’irai. Jouera-t-on au loto ?
— On jouera au loto et au furet.
— Bon ! je n’y manquerai pas.
— Nous t’attendrons.
— Oui.
— Adieu !
— Adieu !