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— Mylady, lui dit-il, en la faisant asseoir près de lui, je n’ai pas besoin de vous apprendre maintenant à qui je destine l’un de ces deux cercueils…
— Dieu lit sans doute dans votre pensée, mylord ; mais pour moi, je n’y vois que ténèbres épaisses… Vous rêvez des choses terribles… et tout bien pesé dans ma conscience, je refuse de me soumettre à cette épreuve, — car c’est à moi que vous destinez ce cercueil, — si vous ne me dites pas jusqu’où elle doit aller.
— Vous refusez de vous coucher dans ce cercueil ?
— Oui, mylord, jusqu’à ce que vous m’ayez dit ce que vous prétendez faire ensuite.
— J’allais vous l’apprendre, mylady.
— Parlez, mylord…
— Demain, à deux heures, des hommes entreront ici et mettront ce cadavre dans ce