— C’est bien ça, n’est-ce pas, mon bourgeois ?
— Parfaitement. Voilà ta course.
— Prenez mon numéro, si vous avez jamais besoin de moi…
— Sont-ils entrés ? lui demanda Glenmour.
— Ce qu’il y a de plus entré.
Descendu du fiacre, Glenmour s’avance vers la maison où sa femme, Mousseline et le comte sont entrés, et il cherche alors à se souvenir… Il connaît cette maison… le numéro qu’elle porte revient à sa mémoire… qui loge dans cette maison ?
Il cherche, il cherche longtemps… Enfin il lui semble que les lettres d’invitation écrites de Ville-d’Avray à la comtesse de Boulac, portaient le nom de cette rue et le numéro de cette maison… Mais comment, se dit-il, Mousseline, le comte de Madoc et lady Glenmour vont en même temps chez cette vieille dame ?…