Page:Gozlan - Les Nuits du Père Lachaise, tome 3, A. Lemerle, 1845.djvu/215

Cette page a été validée par deux contributeurs.

— Non, lisez… J’ai ma toilette à disposer pour ce soir et je n’ai pas trop de temps, comme vous voyez. Sans adieu, messieurs.

Lady Glenmour se retira.

— À nous deux, docteur, dit ensuite le faux sir Archibald Caskil ; nous allons donc avoir des nouvelles de ce cher Glenmour qui tarde bien de se rendre à nos vœux.

Et le comte de Madoc lut à haute voix l’effrayante lettre de lord Glenmour.