Page:Gozlan - Les Nuits du Père Lachaise, tome 3, A. Lemerle, 1845.djvu/206

Cette page a été validée par deux contributeurs.

— Qu’il n’eût aussi celle de vouloir vous approcher.

— Eh bien ! quand il aurait encore eu ce désir-là ?

— Mylady, je ne justifie pas lord Glenmour, je vous dis sa pensée et ses craintes… Appréciez-les.

— Ses craintes !… mais il n’y a donc qu’à chercher à me voir pour me plaire ?…

— Vous manquez, je crois, de justice, mylady, envers notre excellent Glenmour qui n’a beaucoup de craintes que parce qu’il a beaucoup d’amour…

— Docteur, dit lady Glenmour en soupirant, ne faites pas tant d’honneur à un caprice de sa seigneurie… Mais reprenons : Qu’a prétendu dire Tancrède en me disant :

— Vous êtes perdue.