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bien les placer, mais voilà qu’en rentrant à Paris, je rencontre sur les boulevards ton frère, ce chou de Félix…
— Un monstre qui a mis ma voiture en gage et vendu mes chevaux ; ne me parlez pas de lui… Où sont les deux cents francs ?
— Figure-toi…
— Je vous défigurerais volontiers…
— Tu ne défigureras pas ton père, dit la Bible… Or ton frère m’a fait pitié… il avait besoin d’argent, je lui ai prêté les deux cents francs… et je l’ai pardonné.
— Vous êtes un fier gueux ! comme dit M. Hugo.
— Ensuite je me suis dirigé vers la caisse d’épargne…
— Mais vous n’aviez plus rien à y porter ?
— C’est ce que je me suis dit et je ne suis pas allé à la caisse d’épargne… je viens te faire à dîner…