Page:Gozlan - Les Nuits du Père Lachaise, tome 2, A. Lemerle, 1845.djvu/139

Cette page a été validée par deux contributeurs.


Un heureux mensonge.


— Ce n’est pas, dit le docteur Patrick, en revenant à sa place, que la connaissance de cette lettre puisse compromettre beaucoup celle qui l’a écrite, mais enfin il faut respecter un secret, moins qu’un secret si vous voulez, une confidence qui n’était pas pour nous.

— Mais enfin cette lettre… de qui est-elle ? demanda impatiemment Tancrède.