Page:Gozlan - Les Nuits du Père Lachaise, tome 1, A. Lemerle, 1845.djvu/275

Cette page a été validée par deux contributeurs.

— Vous avez peut-être raison, dit le chevalier.

— Reprenez donc, je vous en prie…

— Mais cette sonnette qui s’agite plus violemment que jamais ?… Cependant puisque vous l’exigez…