les Italiens de cette soirée, pour arriver aussi à retrancher la soirée, vous le verrez.
— Cependant…
— Rien n’est plus clair.
— Comment cela ?
— Il y avait eu nuit, mais pas soirée.
— Oh ! je ne vais pas si loin ! je ne vais pas si loin ! mon cher monsieur de Balzac ! Il y a eu un peu d’Italiens.
— Bien peu ! bien peu !
— Soit ! Un peu de soirée après les Italiens.
— Encore plus peu !
— Et le thé ?
— Ah ! bath ! est-ce qu’ils ont pris du thé ?
— Vous êtes un homme terrible, monsieur de Balzac !
— Pas plus que la vérité, monsieur Vidocq.
— La comtesse continua, mais la fatigue l’exténuait.
« — Le salon, dit-elle, avait été trop chauffé par les domestiques ; il l’avait été à ce point, que je fus obligée d’appeler Honorine, ma femme de chambre, et de lui faire ouvrir les deux battants de la porte de ma chambre à coucher pour que la chaleur, en se répandant, diminuât un peu. Il ne fallait pas songer à ouvrir les croisées ; vous savez le froid qu’il fait ce soir…