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UN CŒUR VIRGINAL
j’adore illuminerait un taudis… M’aime-t-elle ? »
Mais il eut beau se répéter la question, il ne trouvait pas la réponse.
« Que je suis sot ! Je le verrai bien la prochaine fois. Moi, je l’aime toujours. Elle est belle, elle est obéissante… Mais est-ce le but de ma vie ? Si on me la donnait en toute propriété ? »
À cette question-là, non plus, il ne trouvait pas de réponse.
Hortense, au même moment, dans son ancienne chambre de jeune fille, s’endormait en soupirant :
« Ô mon rêve, mon beau rêve ! »