Page:Gourmont - Le Livre des masques, 1921.djvu/196

Cette page a été validée par deux contributeurs.

C’est la fin d’Atala (Châteaubriand plane invisible sur toute notre littérature), mais refaite et renouvelée avec grâce, avec art, avec tendresse, — si bien qu’à l’idée de la mort vient se joindre l’idée de la beauté ; et les deux images, enlacées comme deux courtisanes, tombent lentement dans la nuit.