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royales dont je pare l’omphax, en ses lointaines gloires ?
Quelle musique est comparable à la sonorité pure des mots obscurs, ô cyclamor ? Et quelle odeur à tes émanations vierges, ôsanguisorbe ?
royales dont je pare l’omphax, en ses lointaines gloires ?
Quelle musique est comparable à la sonorité pure des mots obscurs, ô cyclamor ? Et quelle odeur à tes émanations vierges, ôsanguisorbe ?