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DEUXIÈME PARTIE Lorsqu’éelata la guerre en 1870 avec sa douloureuse suite de catastrophes, le Duc d’Alençon essaya par tous les moyens possibles d’entrer dans l’armée, mais, à son grand désespoir, il ne put y parvenir. Le général Faidherbe repoussa sa demande parce qu’il craignait sa popularité. A la même époque, Gambetta faisait arrêter et emprisonner pendant cinq jours, au Mans, le Prince de Joinville, coupable d’avoir été offrir son épée au général Chanzy qui l’avait acceptée. Finalement, on reconduisit le Prince à Saint-Malo où on le força de s’embarquer pour l’Angleterre. Le Duc de Chartres fut plus heureux, il put combattre caché sous le nom de Robertle-Fort, à l’armée de la Loire. Logé à An¬