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dée, pour donner plus d’attrait à la fête,pour amener plus de monde et grossir davantagela recette, de reconstituer une rue du Vieux Paris et de reproduire l’aspect des antiques hostelleries avec leurs pittoresques enseignes : à l’Etoile de Mer, au Chat Botté, au Pélican Élanc, à la Belle Ferronnière, à la Tête Noire, A l’Eperon d’Or, Au Soleil Levant, au Cadran Bleu, au Grand Cerf, à la. Truie qui File. Parmi ces comptoirs un avait été réservé à l’œuvre des Noviciats des Dominicains, l’œuvre d’élection de Son Altesse Royale la Duchesse d’Alençon. Aussi avait-Elle accepté d’y venir avec quelques-unes des autres bienfaitrices et sa trésorière Madame Jauffrey. Le 2 mai, la Princesse toujours si bienveillante envers les jeunes filles admises à l’honneur de l’aider à son comptoir, adresse à Mademoiselle Yvonne de Riancey (1), qui a bien voulu nous la communiquer, la lettre ci-contre, encadrée de noir, timbrée des écus sons unis de France et Bavière. (1) La Comtesse de Riancey cruellement brûlée put être sauvée, ainsi que sa fille qui l’entraîna. 10