Page:Gounod - Mémoires d’un artiste, 1896, 3e éd.djvu/146

Cette page n’a pas encore été corrigée

III

L’ALLEMAGNE


Quittant Rome pour me rendre en Allemagne, j’avais ma route tracée tout naturellement par Florence et le nord de l’Italie, en inclinant sur la droite par Ferrare, Padoue, Venise et Trieste.

Je m’arrêtai à Florence, dont je n’entreprendrai pas de dresser l’inventaire. Florence est, ainsi que Rome, une ville inépuisable sous le rapport des œuvres d’art. Les Uffizi, avec leur admirable tribune