circonstances ont particulièrement favorisée. Trois fois il a été directeur de l’Académie de France, où il a laissé les meilleurs souvenirs.
Mon temps de résidence à Rome allait expirer avec l’année 1841 ; mais je ne me sentais pas la force de partir, et je prolongeai mon séjour, avec le consentement du directeur ; je restai à l’Académie près de cinq mois au delà de mon temps réglementaire, et ne partis qu’à la dernière extrémité, n’ayant plus que les ressources strictement nécessaires pour me rendre à Vienne, où je devais toucher le premier semestre de ma troisième année de pension.
Je n’essaierai pas de décrire mon chagrin lorsqu’il fallut dire adieu à cette Académie, à ces chers camarades, à cette Rome où je sentais que j’avais pris racine. Mes camarades me firent la conduite jusqu’à Ponte-Molle (Pons Milvius), et, après les