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très-petit personnage, quand il s’agit de commander à l’amour. Cependant, Géroïde voyoit l’empereur avec plaisir ; ce prince réunissoit les avantages de l’esprit, de la figure, et la majesté d’un grand monarque. La douceur de son caractère étoit empreinte dans ses traits, il n’osoit ordonner à Elmire d’emmener Géroïde avec elle, il aima mieux user des moyens les plus délicats, et devoir ce bonheur aux plus doux procédés et à l’inclination de Géroïde. La nuit s’avançoit, et l’empereur étoit forcé de rentrer en son palais : il prit donc congé d’Elmire, en lui recommandant Géroïde ; il ne lui cacha point combien il seroit flatté et rede-