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ta race sera détruite ! Mes cheveux se dressèrent sur ma tête, et je restai suffoquée par les sanglots… Tel fut cet épouvantable songe. »
— « Élisène, votre récit m’a troublée : mais Dieu n’a-t-il pas toujours protégé la race antique de Clodomir ? Pourquoi l’abandonnerait-il à présent ? Clodomir n’est-il pas le plus vertueux des monarques ? Que de bienfaits n’a-t-il pas répandus ! Non, le ciel ne nous abandonnera point ! Où les Francs trouveraient-ils des princes qui les aimassent davantage ? Chère Élisène, un songe, une illusion, doit-elle nous alarmer ? Votre imagination vous aura frappée. »
— « Ma sœur, je le voudrais. »
— « Vous m’effrayez ! Auriez-vous