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sorte. Dans sa misère, au Paraclet, elle peut se chauffer de son bois et boire de son crû. Elle envoie à Mme Belanger les compliments de son hussard (son fils Constant de Brancas, chef d’escadron au 9° hussards), qui à l’affaire du 24 frimaire a fait 400 prisonniers, parmi lesquels se trouve le prince de Ligne. Elle lui demande de le recommander
au général Moreau, sur le travail duquel seront faites les prochaines nominations
LIX
Lettre de Sophie du 21 février 1801. Elle anonce à Belanger la mort de son ami, le chimiste Darcet
LX
Lettre de Sophie du 16 avril 1801 à Bélanger. Elle s’inquiète de ses procès à propos de sa propriété d’Ormesson. Elle se plaint qu’elle a une charge bien pénible dans la petite Murville, et annonce qu’elle fait faire ce même jour une consultation sur son état de santé
LXI
Lettre de Sophie du 3 mai 1891 à Belanger. Sa santé est toujours bien dolorée. Pelletan de l’Hôtel-Dieu et Boyer de la Charité l’ont visitée et le docteur Michel doit suivre la cure. Elle va travailler à raccommoder son
cuvier
LXII
Lettre de Sophie du 19 mai à Belanger. Elle annonce que le squirrhe dont elle souffre est un peu dégagé, et que le chirurgien chante presque victoire
LXIII
Lettre de Sophie du 31 mai 1801 à Belanger. Elle éprouve toujours des douleurs cruelles. Elle vient de recevoir des nouvelles de son hussard, de son Constant, de son fils tant chéri