ainsi. »
L’infortuné pensa à ses devoirs envers son prince mort, et s’armant d’un cœur d’acier contre tout sentiment, il se recoucha et recommença à faire semblant de sommeiller.
— « Honorable mari, votre bain est prêt.
— Mon bain ? s’écria-t-il, en se levant et en prenant un flageolet, dont il se mit à jouer. Puis brusquement : Je sors. »
Il se dirigea vers la porte. Aussitôt sa femme ramassa son chapeau de ronin, et le lui présenta à genoux, en disant :
— « Honorable époux, mettez ceci. Vous avez des ennemis aux environs. »
Kuranoské se retourna et lui dit :
— « Assez. Vous causez trop. Je vous donnerai une lettre de divorce et vous aurez à retourner chez votre père. Je vous accorderai la permission de vous charger de nos deux plus jeunes enfants. Mon domestique vous accompagnera. »