de la fabrication des gâteaux de riz pour le Jour de l’An, avec tout le monde de la maisonnée : femmes, serviteurs, servantes, enfants, travaillant à la confection de grands et de petits gâteaux.
Dans l’admiration enfantine de femmes, dont l’une pour voir de plus près, est à quatre pattes sur le plancher, un peintre est en train de peindre sur tout un panneau d’un mur de la salle de l’exposition des courtisanes, un gigantesque Ho-ô — un peintre qui, par ses habitudes, pourrait bien vraisemblablement être Outamaro[1].
Aux temps, où a paru le livre des Maisons Vertes, les femmes se livrant à la prostitution dans le Yoshiwara, se divisaient en quatre classes.
La 1re : les femmes de Nakano-tchô, (celles qui font la grande promenade) ;
La 2me : les femmes de Tchônami (une classe
- ↑ Cette dernière planche du second volume d’Outamaro n’est pas mentionnée dans la salle des illustrations. Du reste, cette table est assez négligemment faite, et le texte et les illustrations ne concordent pas toujours.