une troisième femme, gracieusement appuyée des deux mains sur la rampe de l’escalier, enfin toutes les coquettes amabilités de l’adieu.
Lorsqu’un Japonais a donné son armoirie (de famille ou d’invention) à une courtisane, et qu’il lui a fait une infidélité, c’est une grande honte pour la femme. Aussi a-t-elle le droit de le punir ! Dans ce but, elle distribue dans l’enceinte des femmes de ses amies qui guettent l’infidèle, découvrent la maison où il se rend, attendent sa sortie, s’emparent de sa personne de force, l’amènent à la courtisane, chez laquelle on lui fait toutes les misères imaginables, pas par trop méchantes toutefois.
Et la septième planche vous donne la représentation du coupable, habillé en fillette, habillé en Kamourô, demandant, agenouillé, son pardon, dans le rire de toutes les femmes que partage l’oïran, victime de sa trahison.
La huitième planche vous introduit au milieu