Page:Goncourt - Outamaro, 1891.djvu/225

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.
215
OUTAMARO

sha, costumées en jeunes garçons, les cheveux coupés, tandis qu’un taïkomati accroupi par terre, et faisant le geste de s’essuyer le front, cause un moment avec la courtisane, ayant déposé à côté de lui son déguisement, sa trompette et son chapeau coréen, un chapeau vert pointu, surmonté de plumes.

Impression tryptique.


Courtisanes réunies dans le salon d’honneur.

Dans les premières épreuves, le fond est blanc, dans les réimpressions, le fond est rempli, sur les trois planches, par le grand Hô-ô, qu’on voit peindre par Outamaro, dans la dernière planche du second volume des Maisons Vertes.

Impression tryptique.


Grande fête de la première soirée.

Deux courtisanes dans un corridor, regardant dans le salon, où se passe la fête ; une femme accroupie dans une chambre à côté, ayant l’air de tendre l’oreille à la musique.

Impression tryptique.


Le matin dans une Maison Verte.

Les adieux adressés par une femme à un Japonais, dont on voit la tête et le torse en la