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Non.
― Vous ne voyez plus M. Flamen de Gerbois ?
― On me l’a défendu.
― Vous ne voyez plus personne ?
― Plus personne.
― Votre robe est bien vieille, chère sœur…
― Elle me suffit.
― Mais où passe donc votre fortune, votre argent ? »
Et la voix du frère commença à s’animer.
« Qu’en faites-vous, dites-moi ?
― Mon argent ? »
Et Mme Gervaisais se redressa dans un mouvement de hautaine impatience.
« Vous voulez le savoir ? Eh bien ! … je le donne aux prêtres… aux pauvres… » fit-elle en se reprenant.
Il y eut un second silence plus profond que le premier.
Ce fut le frère qui le rompit :
« Jeanne… autrefois vous étiez ma sœur… Vous avez été presque ma mère…