Ces sourimonos sont signés Hishikawa Sôri,
ou simplement Sôri.
En 1796, un assez grand nombre de sourimonos,
dont les plus remarquables, deux longues
bandes, sont une réunion d’hommes et de
femmes sur ces tables-lits, aux pieds plongeant
dans la rivière, et sur lesquelles on prend
le frais, le soir.
En 1797, des sourimonos tirés de la reproduction d’objets de la vie familière, comme des enveloppes de paquets de parfums avec une branche fleurie de prunier ; des sourimonos, où il y a une femme riant du kami Fokorokou auquel elle a mis une cocotte en papier sur le crâne ; ce sourimono où se voit un bateau dans lequel il y a un montreur de singe ; et toute une série de sourimonos d’ironies contre les dieux de là-bas, sur papier jaune, avec coloration des sujets en violet et en vert.
En cette année qui, dans l’almanach japonais, est une année sous le signe du serpent, un