Une tige de nénuphar.
Un Japonais qui lit, couché à terre.
Des crevettes.
Une tortue et un poisson rouge dans un vase de cristal à la transparence presque invisible.
Sur un papier crépon, fait particulièrement pour les éventails, un hochequeue sur une pierre, où d’un côté est une fleurette bleue, et de l’autre côté une tige de plante couverte de neige. Éventail signé : Gwakiô rôjin Manji (Manji, vieillard fou de dessin), 1839-1840.
Cet éventail fait partie de ma collection.
Dans la collection Haviland se trouve un éventail représentant un coq, qui s’enlève de la manière la plus heureuse sur une poule blanche.
La collection Odon de Mussy contiendrait un certain nombre d’éventails.
Dans la collection de M. Ernest Hart à Londres, le possesseur me signale un éventail, sur lequel est peint à la sépia, un faisan, de la facture la plus artistique.
Il est aussi passé, entre les mains de MM. Hayashi et Bing, un certain nombre de dessins d’écrans, aujourd’hui dispersés et passés dans des collections inconnues. Je citerai cependant chez M. Gillot un écran, où se voit le