ser un pantin, attaché par des fils à un écran.
Des têtes de femmes publiées dans le Japon artistique.
Pêcheur, un feu allumé au bout d’une gaule, pour attirer le poisson.
Un serpent s’enroulant autour d’une branche, dessin, qui rend, à la fois, et l’élasticité et la rigidité du reptile.
Une femme de profil, sur laquelle il y a un peu de bleu et de rose, comme bu par un papier buvard, dessin d’une délicatesse, d’une fluidité sans pareille.
Une guésha accroupie, vue de dos, jouant du schamisén, à la riche coiffure vue par derrière : dessin à la ligne sculpturale.
Un guerrier sur un cheval cabré, un de ces dessins, où il y a comme l’emportement d’un pinceau.
Un groupement de poissons.
Une femme surplombant un Téngou, auquel elle indique quelque chose de la main, dessin où la tête de la femme a une grâce voluptueuse indicible.
Une tête de profil d’apparition, qui n’a pas été gravée dans les Cent Conte.
Une belette guettant deux oiseaux perchés sur une branche.