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hokousaï.

1807.

Deux enfants qui luttent.

Deux amoureux étendus l’un à côté de l’autre, la femme fumant une pipette.

Des natures mortes : deux poissons attachés à une tige de bambou ; un masque en carton, la face et le revers.

1808.

Un très petit nombre de sourimonos, parmi lesquels une grande planche représentant un écran, un bol, une épingle à cheveux sur un plateau de laque.

1809.

De petits sourimonos, où sont des poissons, des coquilles, des plumes de faucon pour épousseter des choses délicates.

Parmi les grandes planches :

La confection d’un étendard, dont la devise est en blanc sur fond bleu, et laquelle travaillent six femmes, dans de jolies poses : un étendard qui va être offert à Yénoshima, au temple de la déesse Bénten.