Page:Gojon - Le Jardin des dieux.djvu/287

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Dans les trous de boulet de ton rouge granit
L’hirondelle au printemps revient faire son nid
Et, toujours vigoureuse au vent dur qui te fouette,

Tu regardes dans l’aube où tu te ranimas,
À travers l’embrouillis des vergues et des mâts,
L’hirondelle à longs cris saluer la mouette.