Page:Gojon - Le Jardin des dieux.djvu/208

Le texte de cette page a été corrigé et est conforme au fac-similé.


Peut-être dresserai-je, ô mon laurier robuste,
À mes cheveux d’argent mêlant vos fruits sacrés,
Un front victorieux que vous couronnerez
De ces rameaux fermés dont la Gloire s’ajuste !